Pause hivernale.

Source ici.

Les chroniques lombardes sont à la montagne, baptême des Alpes du côté italien. Un bon saut dans la nouvelle année et à bientôt pour de nouvelles aventures.

Guide de survie de conduite californienne (part two)

Cette note fait suite à celle-ci.

Passons à la partie conduite à proprement parler.

Il existe tout de même quelques différences passablement importantes. 

En Suisse on échange le permis de conduire des Américains sans cours ni test. En Italie, non, il faut repasser le permis sur place. Ce qui est assez juste, à mon avis. Enfin, pas forcément tout faire repasser, mais enseigner les différences importantes - expliquer la priorité de droite ou comment on utilise un giratoire, au hasard - et faire un peu de pratique.

Mais je digresse. Donc, oui, donc quelques différences de conduite. Je ne sais si toutes ces règles sont valables hors de la Californie (où j'ai passé mon permis), mais je suppose que la plupart le sont. Si jamais, pour plus d'information, on trouve le manuel du conducteur téléchargeable sur le site du DMV Californien. Gratuit. Prends ça dans les dents, service des automobiles et de la navigation.

Tout d'abord, les autoroutes : il y a beaucoup de voies et ça change un peu la donne.

La voie de gauche est souvent réservée au HOV (high occupancy vehicle), c'est-à-dire au covoiturage. Les voies sont généralement indiquée par des panneaux (qui va aussi dire si on parle de 2+ ou 3+ occupants) et/ou par les losanges peints sur la voie. L'interdiction peut être réservée aux heures de pointes.

Sur une autoroute à 6 voies dans chaque direction, changer de voie à l'italienne à la dernière minute peut-être un peu délicat, et avec toutes ces voies, ça fait juste une chiée de flèches et de panneaux. C'est bien indiqué, il faut juste être un peu attentif.

J'me fais plaisir...

... avec une petite "arithmétique graphique", ça fait longtemps.

Singeries.

Ah, j'vous ai menti, je reviens une fois à la charge avec Singapour.

J'ai des histoires de singes, cette fois. C'est pas de très bon goût et ça vole pas très haut, mais on fait ce que l'on peut.

Sur l'île de Sentosa, il y a des singes "sauvages" qui chassent pour leur subsistance.

Mais comment vais-je atteindre les trucs au fond là ? J'vais pas non plus rentrer dans une poubelle ?

La taille compte aussi.

Vous vous souvenez de la table et de la chaise dans le parc de la Villa Reale à Monza de la semaine passée ? Dans cette note ? Entre temps, Lady Muji m'a envoyé les 2387362 photos qu'elle a faites ce weekend et j'en profite pour vous montrer l'échelle de la fameuse chaise sur l'une de ses photos, votre "serviteuse" servant de mètre-étalon (enfin, j'fais un peu plus d'un mètre, hein).

EDIT : ça s'appelle Lo Scrittore et c'est...

... una sedia alta 10 metri e da un tavolo alto 7,50 e largo 11 metri, in legno e acciaio per un peso totale di oltre 4 tonnellate, ...

source et un pdf explicatif ici.

Guide de survie de conduite californienne (part one)

Après quelques mois aux en Californie, j'ai réalisé que la numérotation et les dénominations des rues n'étaient pas forcément super intuitives pour nous autres transaltantiques. Je répertorie donc ici quelques différences qui peut-être aideront l'internaute s'apprêtant à y partir en vacances et peut-être y louer une voiture. Cette note sera en deux parties, la seconde parlant de la conduite à proprement parler.

S'orienter est assez facile. La ville américaine typique est construite sur un quadrillage dont les rues sont souvent numérotées. Bon, c'est un peu une simplification, si on regarde San Francisco ou Los Angeles, par exemple, les rues ne sont pas rectilignes à grande échelle - c'est un peu dur dans les collines - et le nom des rues ne sont pas forcément des nombres, mais ça aide de garder cette image à l'esprit.

Plan de la ville de San Francisco et de ses transports publics.

Pour en finir avec Los Angeles.

J'ai passé une semaine à Los Angeles, dont un beau dimanche à la plage, cinq jours dans des pièces sans fenêtres et climatisées et finalement un dernier petit samedi de liberté avant de reprendre mon avion. Non, ce n'est pas tout à fait vrai, j'ai pu m'échapper deux heures dans la semaine une après-midi et j'ai fait un saut express à Hollywood Boulevard.

Evidemment, j'avais prévu de tout faire ce samedi-là, y compris un tour guidé à pied de deux heures dans Downtown Los Angeles.

Sauf qu'il pleuvait et qu'il a plu toute la journée. J'étais un peu démotivée de la photo et de la visite à pied, mais j'ai quand même pas mal tourné - en voiture - ce jour-là.

J'ai commencé par Mulholland Drive. Je ne sais plus qui m'a conseillé d'y passer, mais même sous la pluie, ça a de la sacrée gueule, la vue sur la ville, merci pour la suggestion.

Bon, et si on parlait un peu d'Italie ?

Nous sommes retournés plusieurs fois à Monza cette année, notamment en juillet, avec Lady Muji et son homme. Et Kermit.

Nous avons loué des petites voitures à pédales au Parc de Monza (cet énorme parc qui s'étend sur 7 km² et abrite un circuit de formule 1, en autres).

C'est un moyen agréable et assez efficace de visiter le parc.

Course effrénée: l’équipe de suisse se prépare à dépasser le numéro 25, qui profite encore d'une légère avance.

Mon nouveau compagnon de voyage.

Quand tu pars en voyage et que tu as un smartphone, c'est super: tu peux le connecter au wifi de ton hôtel pour répondre aux commentaires sur ton blog effacer les spams, envoyer plein de whatsapp à ton chéri et tes copines et écouter tes 4GB de musique.

Mais même si les hauts-parleurs de téléphones sont moins pourris-dégueus qu'il y a quelques années, ça reste un son désagréablement métallique et plat

Laissez-moi donc vous présenter mon nouvel ami :

Ça fait 6 cm de diamètre et à peine plus de 4 de haut (fermé).

Eh, Tom, t'habites à LA ?

(Probablement. La question était rhétorique.)

Située sur une rue au nom du "fondateur".

Rien que ça.

EDIT: plus tard, sur Hollywood Boulevard, j'ai croisé une librairie

Sans transition...

Santa Monica, CA. Suite et fin.

Santa Monica, CA.

Ce matin, je me suis levée tôt (partiellement à cause du jetlag, partiellement parce que le jour se lève et surtout se couche très tôt ici et partiellement parce que le chauffage à air chaud de la chambre m'avait filé un sacré mal de crâne), j'ai pris la voiture et je suis partie en direction de l'océan: Santa Monica.

Ahménon, on fait pas de photos en
conduisant, c'est quoi c't'histoire ?

Une journée magnifique, un poil frais. C'était le matin, avant que les attractions se mettent en marche, que les restaurants ouvrent et que les familles viennent y passer leur dimanche.

Il y avait déjà des surfeurs, quelques joggers, une leçon de yoga, quelques promeneurs.

Plutôt calme.

Une fois n'est pas coutume, je suis contente de bien cinq de mes photos. La première livraison maintenant, la seconde demain (sinon ça fait un beau beaucoup à la fois)(et ma connection est bien pourrite).

A dans quelques jours.

Par Nserrano.

Simplon.

Le weekend passé, c'était la Toussaint, un weekend prolongé pour cause de pont forcé (= on ferme la boîte et on déduit de tes vacances) et je suis rentrée en Suisse.

Je passe toujours par le Simplon: c'est à peine plus long que par le Grand Saint-Bernard, mais c'est nettement moins cher en péages et la route est surtout nettement moins chiante.

Il faisait beau, il y avait de la neige. Pour une fois, je me suis arrêtée pour prendre quelques photos pour pouvoir vous le montrer, ce fameux col.

Et surtout, je dédicace cette note à Ludo.

Singapour Time Lapse

C'est tout.

Bonne semaine !

Mais pourquoi tu racontes p'us rien d'drôle ?

Si vous vous souvenez, l'année passée, j'étais pleine de petits problèmes et de grandes frustrations liées à mon expatriation. Appartement, code fiscal, grèves, permis de conduire, cuisine vide, police locale, murs saumon et jaune pisse, résidence, chaudière déficiente, visite médicale, et j'en passe... cette série de notes était une vraie aventure.

Mais là, je suis installée. A part quelques petits détails et devoir coudre des housses de coussin pour le salon - j'ai une machine et choisi les couleurs, me reste plus qu'à acheter du tissu et faire - l'appartement est fini. Je me fous totalement de savoir si Trenord ou Trenitalia décide à la dernière minutes de se mettre en grève ou de supprimer mon train régional du dimanche soir, car je suis motorisée et que je préfère largement perdre une heure occasionnellement sur le contournement de Milan que mettre 9h pour faire Lausanne-Monbled.

Le job est varié, à défaut d'être profondément satisfaisant, mais ce n'est pas toujours facile de savoir ce que l'on voudra faire quand on sera grand. Et je n'ai pas encore trouvé. Mais je ne m'ennuie pas, ce qui pour ma capacité d'attention de poisson rouge est un point très important. J'ai de bonnes conditions (pour l'Italie), je voyage, assez pour me divertir, mais pas au point de me fatiguer. La  princesse ne bosse plus et la Nordique - avec qui je m'entends de mieux en mieux -  devrait prendre sa place à long terme. Elle a un bon humour de merde et on est quand même culturellement plus proches - et mine de rien, ça aide.

Je cherche aussi à faire le "deuil" de mon Dojo suisse et à me satisfaire de ce que j'ai trouvé à Monza, m'engager dans quelque chose, rencontrer du monde. Les grands tours en vélo me manquent, mais je découvre gentiment des trajets à trottoirs larges, pseudo pistes cyclables et petites routes peu fréquentées dans ma campagne.

La langue, ça vient tranquillement. Ça fait six mois un an que je me dis qu'il faudrait vraiment que j'ouvre des livres un peu un jour, apprendre un peu mes verbes, élargir mon vocabulaire, mais je me fais désormais bien comprendre, je comprend tout le monde, sauf les vieux qui parlent en dialecte, les correcteurs orthographiques sont mes amis et me permettent d'écrire des mails décents, du coup je n'en sens pas l'urgence. 

(Oui, c'est mal.)

Somme toute, je suis satisfaite. Je ne regrette pas d'avoir sauté le pas. Mais je sais que ce n'est pas encore la station terminus. Là, en chemin, j'embarque un max de bonnes choses et on verra quand les envies (et opportunités) nous remettront sur la route.

A 25 ans, je pensais que tous les grands changement devaient se faire avant 30 ans, ou alors jamais, que les choix faits avant cet âge "fatidique" allaient dicter ma vie à jamais. Dix ans plus tard, j'ai enfin compris qu'il n'en était rien et que l'on peut changer de vie mille fois et à l'âge qu'on désire.

Encore heureux que la vie ne s'arrête pas à 30 ans. T'imagines ?

Milan, faisons connaissance.

Il y a quelques temps, je disais chez Flou que je trouvais Milan prétentieuse et difficile d'accès, à la suite de quoi c'est moi qui me suis fait traiter de condescendante et hop, donc, excursion à Milan après piochage dans ses suggestions de choses à y faire.

Si tu as compris quelque chose à la phrase ci-dessous, bravo tu as a) le cerveau aussi rongé que moi b) une fièvre légère, mais vicieuse, qui te tient depuis 10 jours et te monte au cervau c) la réponse d.

Le trajet que l'on a fait est en gros celui-ci: départ de la gare Porta Garibadli (où arrive mon train régional pourrito), passage par le Corso Como, puis Corso G. Garibaldi, arrivée sur Moscova, écart pour aller manger au Volemose Bene Ostaria Romana, pas mal du tout, retour sur nos pas, montée à la Tour Branca - 4€ ascenseur, photo-photo-photo, 5 minutes, ascenseur et fini - marché le long du Corso Porta Ticinese jusqu'au magasin concept store Serendeepity, puis marché jusqu'à la gare Porta Genova, puis métro, puis train pourrito-maison

C'était le résumé.

Voilà la carte approximative du trajet (cliquable).

Et les photos prises le long de celui-ci.

Je crois que Jamy essaie de me faire passer un message.

En m'envoyant ça ce matin.

(Oui, moi aussi, je veux aller vivre à SF, mais là tout de suite, on est sur l'Italie.)

Alors non, cela n'a pas été pas photographié à des moments où les rues étaient magiquement vides, mais ça a été photoshoppé, non pas en effaçant les voitures et les gens un par un, mais en utilisant le fait que si l'on prend une série d'images du même endroit, les objets vont bouger, révélant ainsi l'arrière-plan statique.

En images et en détail, c'est ici.



Sinon, les liens:

les site, youtube, facebook.

Singapour 9 (ou 2.3) (ou pèle-mêle 2.0)

Voilà, on finit avec Singapour. Il faut quand même que je vous emmène un peu en Italie. J'ai 31421 photos de retard de Monza (un bon bout moins de Milan) qu'il faut que je vous présente un peu, histoire de faire honneur à mon sous-titre Chroniques lombardes.

Miaou.

Singapour (8) (ou 2.2)

Le mois prochain, je vais à Los Angeles : le paysage change bientôt.

En attendant, j'avais envie de montrer quelques immeubles d'habitation "normaux" de Singapour. La dernière fois, j'avais attrapé des tours qui surgissent de la végétation une fois qu'on s'éloigne un peu du centre.

Plus au centre, il n'y a pas autant de végétation, beaucoup d'architecture "verre-et-miroir", mais aussi des tours d'habitation colorées.

Singapour (7) (ou 2.1)

Je suis retournée à Singapour ce mois-ci. Je continue (et clos probablement, car pas de raison que Grosseboîte ne m'y envoie à nouveau) la série avec encore deux-trois notes.

Aiujourd'hui, Garden by the Bay et sa vue sur la Marina.

C'est un jardin botanique sous deux grandes serres que j'avais photographiées sans trop savoir ce que c'était en juin.

Les jardins sont jolis, mais ça a un côté un peu artificio-didactique, j'ai personnellement préféré l'architecture de la chose et les "supertrees".

Allez, on y va.

Le gif du lundi.

Un mardi.

Mais celui-là est homemade, ça prend plus de temps. C'est pour ça.

En grand ici.

Je suis pas 100% satisfaite du timing (genre j'aurais dû laisser la phrase complète sur deux frames au lieu de tricher sur les durées) et je me suis rendue compte à la fin que j'aurais dû couper les bandes noires sur les bords, mais bref. Le prochain.

TED, c'est le bien.

De temps en temps, je me rappelle qu'internet, c'est pas que des gifs animés de chatons, mais qu'on y trouve aussi plein de trucs intelligents. Je vais alors sur TED.com et je me perds à visionner une vidéo après l'autre, pendant des heures.

Aujourd'hui, une d'elles m'a particulièrement touchée.

Je ne sais pas quand j'aurai le temps de poster et raconter des trucs un peu consistants, probablement dans une quinzaine de jours: je retourne la semaine prochaine à Singapour et en attendant, j'ai beaucoup de boulot.

L'ambiance au travail est devenue détendue et productive depuis quelques jours, c'est étonnant.

Brèves.

La semaine passée, j'ai bossé 65h. Sachant que seules les heures au-delà des 12h quotidiennes me sont payées, ce n'était pas par choix. Surtout que je me suis mangé une bonne migraine droit derrière. C'était super.

Ce qui s'est passé, c'est une accumulation de petites choses. On avait bloqué pour tous deux semaines à l'agenda pour une réorganisation d'un gros truc en groupe, sous ma supervision. Mon chef a tout de même décidé d'accepter des visites de clients, foutant le bordel dans mon planning - pas merci - et la cheffaillonne a décidé de ne pas rentrer de vacances, créant ainsi un important report de travail sur mes collègues pour une grosse réunion - heureusement passée et bien passée - qui du coup ont eu vachement moins de temps pour m'aider. Et comme je restais la responsable du truc, et ben j'ai assumé, j'ai compensé, j'ai payé.

Papillons.

A la montagne, il y avait des milliers de papillons. Littéralement. J'aurais bien aimé photographier ces nuées de petits papillons bleus clair et noirs qui s'envolaient à chacun de nos pas. Mais ils sont bien trop rapides pour moi.

J'ai réussi à en attraper quelques uns.

(Mais je les ai laissés repartir.)

Zinal-Ayer

Pour les vacances, on a passé une petite semaine dans un petit chalet à Ayer (qui se dit Ayère, d'ailleurs).

Cinq jours, quatre promenades. 

Si tu paies ta taxe de séjour, tu as le droit à un "pass" qui permet de prendre sans payer tous les transports (téléphériques et cars postaux) dans tout le val d'Anniviers. Ils soignent bien leurs touristes, ça vaut vraiment la peine. Il y a une ligne "express" qui va du glacier de Moiry à Zinal en passant par Grimentz, très pratique.

Jour 1. Sorebois-Barrage de Moiry. 6.5 km - 2h - dénivelé 433m.

On a pris le téléphérique de Zinal à Sorebois, on a marché jusqu'au barrage (montée puis descente) et on est rentrés en bus. La montée de Sorebois au col n'est pas très jolie: balade dans les pâturages sous les très nombreux télésièges. Belle surprise quand le lac apparaît.

Fête nationale.

Ouais, je sais, j'ai presque un mois de retard, mais c'est août, le temps s'arrête en Italie, c'est pas ma faute [/mode mauvaise foi OFF]. Le premier août, donc, envie de Suisse. Vivre tout au nord du Nord de l'Italie me permet un peu paradoxalement de découvrir encore un peu mieux la Suisse que je ne connais pas encore. Je suis donc allée à Lugano pour voir les feux que je pensais être prévus à 21h mais en fait c'était 22h et comme j'avais quand même une heure trente de route pour rentrer et que je me levais le lendemain, ben j'ai pas vu les feux. 

Mais j'ai bu une deux cardinal et quelques rivella, mangé de la salade avec de la sauce à salade avec des costine trop bonnes et ça a suffi à mon bonheur.

C'est joli, Lugano. Il y a la lumière, un paysage similaire à Côme, une architecture pas si différente, mais il y a  une espèce de truc, une espèce de tranquillité très helvétique qui fait que ça pourrait être en Italie, mais en fait non.

Allez, hop, images.

(Fait encore trop chaud pour bloguer correctement).

Singapour (6) : le pèle-mêle

J'arrive gentiment à la fin de mes notes singapouriennes (jusqu'à l'automne du moins...) avec la série des inclassables.

ION vu depuis Scott's Road

Interview sur "Le coin des voyageurs".

A retrouver ici.

PS: la réponse est "Non, sauf en Italie, où ils ne sont pas bons."

Pause pub.

Aujourd'hui interview sur Le coin des voyageurs.

(Je fais court, je poste depuis mon téléphone.)

Singapour (5)

Le dimanche, il a fait beau. Le premier jour et seul jour de ciel bleu de la semaine. Forcément, c'est le jour que j'avais choisi pour aller m'enfermer au musée scientifique, mais j'ai tout de même pu en profiter et j'ai eu droit à un vrai coucher de soleil sur la Marina. Vu le nombre de gens au matériel photo imposant qui ont dégainé leur trépied plus vite que leur ombre, je crois que j'ai eu droit, effectivement, à un coucher de soleil assez exceptionnel.

J'ai fait vraiment un effort pour ne pas mettre 75 photos (ça aurait été un peu redondant tout de même).

Singapour (4) : Sentosa

Je ne sais pas trop ce que j'en ai pensé. C'est une espèce de "Amusement park" dans la nature, avec beaucoup de monde, d'innombrables animations généralement hors de prix, la plage. C'est assez étrange. 

Pour vous donner une idée de l'esprit du lieu, en voilà sa carte.

Elle est tirée de leur site et elle est interactive. Je vous laisse le soin d'aller voir sur le site, cliquer dessus, voir les petites animations choupis-bubble-gum.

J'ai vu, pèle-mêle, un aquarium (qui est franchement nullos, mais après avoir vu celui de Monterey, Californie et celui de Lisbonne, je suis blasée, rendez-moi mes 25 dollars), des singes (notamment copuler, mais cela fera l'objet d'une autre note), du pseudo-Gaudi, des carrousels, des shuttles, une tyrolienne, une luge d'été, le merlion, de la plage... et du monde partout.

Bon premier août !

Lanceur de drapeau qui ne lance rien du tout piqué sur le site de l'Hebdo.

Et profitez bien de votre congé.

J'ai de mon côté décidé de célébrer à ma façon: je partirai un peu plus tôt du travail pour aller à Lugano voir les feux d'artifices sur le lac - et voir un peu Lugano par la même occasion. Potentielle récolte photo.

Sur le site de la Confédération, page du Consulat de Milan, on y trouve un lien au discours du 1^er août spécialement dédié aux Suisses de l'étranger par Madame La Présidente Widmer-Schlumpf. Schlumpf. Je crois que je ne m'en remettrai jamais.

On parle souvent du "français fédéral", mais vous étiez-vous déjà posé la question de "l'italien fédéral" ? Hein ?

Eh bien voilà :

Sinon j'ai une question pour les (trois) culturés d'entre vous : une idée pourquoi l'hymne national n'a que deux couplets en italien ? Rigueur budgétaire ?

Singapour (3) : la ville vue d'en haut (un peu)

On passe très rapidement du dimanche au weekend suivant, ayant travaillé tard tous les soirs de la semaine, je n'ai pas vu quoique ce soit (à part ma chambre d'hôtel et quelques bons restaurants où mes collègues m'ont invitée).

Durant le weekend, je suis allée quelques heures à Santosa, une île "Les Tropiques rencontrent Disneyland". Je vous parlerai de l'île dans une autre note, mais pour le moment, quelques images de Singapour avec un peu de hauteur.

Il y a plusieurs moyens de se rendre à Sentosa, île au large (quoique tout près) de Singapour: une navette sur rail, un bus, les pieds et... la télécabine. J'ai évidemment choisi cette dernière. Une vraie télécabine de fabrication helvétique comme celle qu'on prend pour aller skier.

Et décorée sur le thème d'Angry Birds.

Singapour (2) : Emerald Hill Road

Juste en marge d'Orchard Road et de ses buildings ultra-modernes, se trouve la très jolie Emerald Hill Road.

Un peu de culture et je vais essayer de ne pas raconter trop de conneries, il s'agit d'une rue préservée typique Peranakan, terme qui signifie plus ou moins "né ici" ou "né d'un mariage mixte" en Malais et désigne les immigrants chinois (en l’occurrence, mais il y a des Peranakan-plein-de-choses) en Asie du Sud Ouest il y a 500 ans qui sont restés sur place et ont épousé de locaux, résultant en une culture bien à eux, avec des influences chinoises et indonésiennes. Après, l'histoire de l'immigration Singapourienne est un peu compliquée et je ne suis pas sûre d'avoir tout très bien suivi. Ce que je sais, c'est que la population est de descendance chinoise, indienne et malaisienne et que les quatre langues officielles sont l'Anglais, le Chinois, le Malais et le Tamil. 

Brefle. 

Cette rue témoigne donc de cette culture. Je vous encourage à aller faire un petit "visionnage de rue" virtuel.

Singapour (1) : La Marina

Voilà, voilà, je reviens.

Mois un peu mouvementé, pas mal d'aller-retours en Suisse, des visites, de longues journées au travail et j'ai laissé en plan mon appareil photo pour passer mes soirées vautrée avec un chat - qui n'est pas en super forme - sur le ventre à mater des DVD ou à aller faire du sport au centre municipal - dépourvu de climatisation et dans les mêmes locaux que la piscine couverte, bonjour le sauna - plutôt qu'à bloguer. J'en ai oublié la photo du mois.

Donc, le mois passé, je suis allée une semaine à Singapour pour une (longue) semaine de boulot, mais avec la chance d'y passer un dimanche avant et un weekend après.

Le premier jour, un dimanche, j'ai atterri à 6h du matin et j'ai décidé de ne pas prendre de chambre d'hôtel afin de ne pas avoir la tentation d'aller me vautrer telle une grosse merde (oui, "se vautrer" est un thème assez récurrent ces temps), dormir toute la journée, ne pas dormir le soir et est détruite au boulot le lendemain. Forcément, grosse maline que je suis, je n'ai pas pensé au fait qu'étant proche de l'équateur, les journées d'été ne commenceraient pas à 6h, il faisait une nuit noire, et j'ai attendu, dans le lobby de l'hôtel, luttant péniblement contre le sommeil, que le soleil se lève.

J'ai donc entrepris, après 15h de voyage dans les pattes, d'aller me promener et prendre un premier contact bref avec l'Asie - c'était donc la première fois que je mettais les pieds sur ce continent.

J'ai marché, par 30° et 95% d'humidité, de l'hôtel à la Marina en prenant Orchard Road, les narines et les yeux grand'ouverts.

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Dépaysement assez limité, je dois dire. La rue était quasi déserte, j'ai croisé quelques blancs expatriés faisant leur jogging ou du vélo ou se promenant en famille. J'ai eu l'impression, quelques odeurs épicées et l'humidité à part, d'être dans une grande ville vaguement américaine, vaguement européenne.

(En passant.)

Pour transférer de l'argent en toutes sécurité sur le net, il y a :

(C'est tout pour aujourd'hui.)

Télégramme.

pas morte STOP un peu débordée STOP pas tué collègues STOP encore deux weekends chargés STOP temps file STOP retour blog dès possible STOP a bientôt 

 FIN DE TRANSMISSION.

Brèves.

Ceci est un slip tendu.

Ma chaudière déconne à nouveau. La chasse d'eau de la salle de bain de Jamy fuit et a inondé la salle de bain. Je dois mettre un gel gingival tous les soirs à mon chat pendant dix jours. J'ai envoyé un mail à mon chef en voyage jusqu'à demain pour lui dire que j'allais bientôt péter un câble à cause de la radio et de la musique de merde imposée par mes un collègue qui m'a bien fait comprendre que c'est lui - le collègue - qui décidait parce qu'il est là depuis 6 ans et que comme il - mon chef - refuse de me déplacer plus loin des hauts-parleurs, non seulement c'est ma productivité qui en pâtissait donc tant pis je suis payée pareil et j'allais finir par me casser à la longue. Je lui ai également envoyé un lien sur un article expliquant comment les militaires américains utilisent la musique comme moyen de torture. Je crois que j'ai dépassé quelques bornes, mais au moins j'aurais eu le mérite d'être claire. De toutes façons, vu que je suis en train de le sortir gentiment de la merde noire que mon prédécesseur a foutu et qu'il ne supporte pas le conflit, il va poliment ignorer tout cela. Ma collègue-copine est partie en congé mat' pour 8 ou 10 mois et sa remplaçante qui avait remplacé une autre l'année passée est du genre qui fait des sudokus pendant que tu trimes et qui a apparemment foutu un bordel monstre dans les fichiers de sa remplacée, et est super pote avec Mr Radio-pseudo-rebelle-fan-de-zuchero qui appelle sa femme tous les jours à 14h tapantes pour lui raconter ce qu'il a mangé sur un ton mielleux et ferait mieux de get a room et baisez un coup you're not fooling anyone - avec la remplaçante, pas avec sa femme - depuis le temps. L'ambiance est tendue comme un slip, c'est super.

Et ce n'est que mercredi.

Canzo, Côme.

Dimanche, nous avons inauguré, un peu tardivement, notre saison de randonnée.

Nous avons acheté une boussole (un peu trop bon marché et qui s'avère indiquer le Nord à l'Est) et une carte de la région Lecco-Côme. On s'est décidés pour Canzo comme point de départ, qui se trouve à une bonne trentaine de kilomètres de notre bled italien. 

En effet, il faut savoir que oui, les sentiers sont balisés, mais de façon un peu fantaisiste. Il faut oublier le Wanderland à la Suisse avec ses multiples panneaux jaunes et ses itinéraires remis à jour chaque année qui font qu'il faut vraiment chercher pour se perdre. 

Résultat: des années de randonnées en Suisse ont fait de nous de beaux assistés.

Démonstration: en vert, l'itinéraire que nous avions l'intention prendre, à savoir environ 5 km pour 850m de dénivelé qui suit sagement les courbes de niveau. En rouge, l'itinéraire que vous avons pris,  700m de dénivelé au total dont 500m sur seulement 2 km - que nous appellerons les Deux Kilomètres de la Mort qui Tue avec 25% de pente en moyenne.

Carte prise sur map.wanderland.ch

La photo du mois.

Chaque mois, les blogueurs qui participent à La photo du mois publient une photo en fonction d'un thème, qui est lui-même choisi par un ancien participant.

Toutes les photos sont publiées sur les blogues respectifs des participants, le 15 de chaque mois, à midi, heure de Paris (ou de mon petit paese lombard, hein).

Le thème, ce mois-ci est transparence.

J'avoue que je l'ai jouée easy, j'ai compté sur Singapour et son architecture que je supposais très vitrée et très en miroir pour m'en tirer à bon compte.

J'ai décidé de faire encore plus dans la facilité en prenant en photo le mall le plus célèbre de la rue la plus célèbre de Singapour (dont je ne soupçonnais absolument pas l'existence avant que le boulot ne m'y envoie, que l'on soit clairs): Orchard Ion (le mall) sur Orchard Road (qui ne se dit pas Orkarde, comme je le pensais au début, mais Ortchârde, attention, ne risquez pas de passer pour des bleus.)

J'en ai pris à peu près 25, j'ai beaucoup hésité entre trois et finalement, comme je suis héroïque obéissante, je n'en poste qu'une (qui se trouve être la première de la série).

Et aussi, les contributions des autres participants :

Pilisi, Les zinzins, Krn, Agrippine, Tambour Major, A&G, Typh', Manola, Laura, Quelbazar, Dan, Nataru, Gilsoub, Cécile, Anne Laure T, Mistinguett, Caro, Lesegarten, Emma, Lhise, Filamots, Gizeh, Olivier, Lost in London, Leviacarmina, Hélène d'avril, Jean Wilmotte, François le Niçois, David et Mélanie, Frédéric, La Papote, Cessna, oui !, Batilou, Où trouver à Montréal ?, Céliano, Kyoko, Surfanna, Mamysoren, Cricriyom from Paris, Nomade57, Flo, Terhi Schram, Testinaute, Ori, Alice Wonderland, Renepaulhenry, Sinuaisons, Xavier Mohr, Galinette, Isabelle, Louisianne, Louiki, Violette, jen et dam, Bestofava, Emily58, Aparça, Dr CaSo, Cekoline, Carnets d'images, Stéphie&lesCacahuètes, La Parigina, Le Mag à lire, magda627, Elapstic, 100driiine, Marion, Narayan, Lyonelk, La Nantaise, Minicecile, Carole In England, Ludovic_P, Nicky, Mgie les bons tuyaux, Titem, Viviane, Céline in Paris, Babou, Kyn, LaGodiche, Nathalie, Cocosophie, Cathy, Coco, Cynthia, Isabelle et Gilles, Laure, Alban, Les petits supplices !, Stephane08, Petite Marie, Lavandine, Clara, Karrijini, Nora, L'Azimutée, Agnès, Sébastien, Zaromcha, Blogoth67, Les voyages de Seth et Lise, The Parisienne, Anita, Alexinparis, Dreamteam, Maïder, Tam, M.C.O, André(eric)Fernandes, Xoliv', Le-Chroniqueur, Laurent Nicolas, M'dame Jo, La Fille de l'Air, Skipi, Lucile et Rod, Aude, Les voyages de Lucy, Nikit@, Akaieric, Dorydee, Un jour une rencontre, Melting Pot, Guillaume, Anne-Cécile, E, Arwen, Valoutyne, Véro Beramelo, DNA, The Mouse, Cara, Ovan, Champagne, Ava, Annick, Escapade en Tunisie, Vanilla, Egedan, Lauriane, J'adore j'adhère, La Flaneuse, Anne, Alexanne, Sephiraph, Hibiscus, Chris et Nanou, M.

Singapore Travel Fact (4)

Premier jour, j'atterris  6h du matin, j'ai volontairement pas booké de chambre pour le matin même (surtout ne pas dormir), j'attends dans le lobby de l'hôtel que le jour se lève et je pars explorer la ville (et marcher une bonne quizaine de bornes dans un air donc l'humidité me coupait la respiration - maintenant ça va, je me suis habituée).

Le soir, je décide de récompenser ma bravoure par une petite baignade dans la piscine de l'hotel. 

Divin.

Je me pose ensuite trois minutes sur une chaise longue à proximité des trois plantes qui décorent la piscine afin d'égoutter un peu.

Cinq piqûres d'insectes.

Cinq.

Et pas des petites.

Alors que toute la journée dehors, rien. 

(Mardi, j'ai acheté - pour tester - du répulsif à moustique en crème, en spray et en patch.)

(Jolie réaction allergique, d'ailleurs.)

Article sponsorisé par Telfast ©

Singapore Travel Fact (3)

Niveau shoppping, j'avais abandonné à l'avance d'acheter des vêtements ici, étant nettement plus grande et plus grosse que la Singapourienne lambda¹. Je décide donc de me rabattre sur les chaussures.

Verdict :

J'ai le pied beaucoup trop fin, je flotte dans tout ce que j'ai essayé.

(L'épisode "trouver des chaussures de sécurité pour M'dame Jo pour aller visiter la production" fut assez amusant.

1. Ce qui ne veut rien dire vue la diversité ethnique de la ville, mais je me comprends.

Singapore Travel Fact (2)

Porteuse de lunettes, en hiver, il m'arrive souvent d'avoir de la buée sur mes verres quand je rentre dans un lieu chauffé ou, pire, dans une piscine couverte, ou simplement en ouvrant le four chaud.

Ici, c'est la première fois que j'ai systématiquement de la buée quand je vais dehors.

Singapore Travel Fact (1)

Ce soir, après mon repas pris à l'hôtel, on m'apporte deux desserts au durian format dégustation.

Comme j'avais été prévenue, je fais bien attention à ne pas inspirer au moment où j'ouvre la bouche pour croquer et je peux tout de suite apprécier le gout ma foi très doux et subtile de ce fruit étrange.

Après avoir fini mon dessert, par contre, chacune de mes respirations faisant remonter l'odeur résiduelle de ma langue, j'ai l'impression d'avoir léché un pied d'ado en pleine poussée hormonale qui aurait marché dans du vieux pipi de chat.

J'ai presque envie de me faire un mars à 5$ du minibar pour couvrir ça.

(Et surtout, ne pas roter.)

A la semaine prochaine...

... avec j'espère plein de photos et d'histoires (qui finissent bien).

Image trouvée sur youshouldtravel.com

Je m'envole demain matin et je reviens dans une petite dizaine de jours. Non, pas pour des vacances, et ça va probablement bosser fort, mais j'ai la chance de pouvoir y passer un weekend avant de rentrer. 

Ouais, j'ai le cul bordé de nouilles.

(Et la chance tourne, un jour.)

(Enfin, pas tout seule.)

Sauce vigneronne (y paraît).

Une fois n'est pas coutume, une recette expérimentation. 

La semaine passée, au marché, j'ai acheté des oignons rouges frais. Je n'avais absolument aucune idée ce que j'allais en faire, mais je n'avais jamais vu d'oignons rouges frais. Forcément, je les ai laissés traîner trop longtemps pour pouvoir faire quoi que ce soit avec les fanes et je me suis retrouvée avec quatre oignons de taille respectable qui ne demandaient qu'à être mangés. 

Nous avions décidé de nous faire de la viande - on a d'ailleurs trouvé un moyen assez efficace d'attendrir et délester de son eau la viande italienne : on achète deux morceaux bien rouges (y'a que ça) que l'on met au congélateur au moins une semaine et fait décongeler gentiment au frigo pendant 24h avant de les manger. Ça ne vaut pas une belle viande rassie de boucher, mais ça permet d'avoir une viande tout à faire honorable sans risquer de développer des germes en essayant de jouer à la laisser traîner au frigo.

Donc, je me dis: j'vais couper tout l'oignon en rondelles et je vais les balancer dans une cuillère à soupe d'huile d'olive.

Les faire griller juste ce qu'il faut.

75 ans, à peine l'âge de la retraite.

Ce dimanche, le Golden Gate Bridge, le fameux pont rouge de San Francisco, célèbre ses 75 ans. A cette occasion, j'ai décidé d'en poster quelques images que j'ai prises quand je suis allée en Californie fin 2011 et que j'ai complètement oublié de poster - j'étais un peu à la masse, fin 2011.

Neige de printemps.

Quand mon (nouveau) médecin (italien) me disait Ici, la période des pollens, il y en a tellement, on dirait qu'il neige je crois qu'il faisait référence à ça.

Voilà donc l'entrée de ma notre maison...

Non, on n'a pas sacrifié un bichon frisé dans la cour. Il y en a partout depuis des semaines. Ils s'enfilent partout: les moustiquaires sont floconneuses, le garage sous-terrain est duveteux, il y en a même sur ma voiture qui est un box fermé au sous-sol.

Happy Graphics Interchange Format.

Jamais une de mes notes n'aura eu aussi peu de succès que mes roses du PDG des lave-linges. J'en déduis que les fleurs et les petits oiseaux, c'est pas votre truc.

Bon. J'accepte. On a les lecteurs qu'on mérite.

Et ça tombe bien, parce que c'est lundi et qu'aujourd'hui lundi on m'a glissé une info toute à fait pertinente pour un lundi.

On m'a soufflé dans l'oreillette que durant cette année de grâce 2012, nous célébrons le quart de siècle du GIF animé. La première version de ce format datant de 1987 permettait déjà des animations basiques. Et ce fût la début de la voie royale qui mena à la grande série de GIFs moisis qui ont orné ce blog tous les lundis pendant plusieurs mois.

Afin d'en apprécier toute la subtilité, une vidéo a été créée à cette occasion:

La roseraie de Monza.

Bienvenue dans la roseraie de Monza.

Je vous préviens d'entrée, il y a beaucoup de photos. J'ai essayé de limiter à dix le nombre de photos de fleurs, mais j'ai pas réussi...

La photo du mois.

Chaque mois, les blogueurs qui participent à La photo du mois publient une photo en fonction d'un thème, qui est lui-même choisi par un ancien participant.

Toutes les photos sont publiées sur les blogues respectifs des participants, le 15 de chaque mois, à midi, heure de Paris (ou de Lausanne, hein).

Le thème, ce mois-ci: Escaliers.

Que j'illustre par leur absence (ou lack thereof qui est l'expression anglophone que j'aime presque peut-être plus que le mot indeed.)

Ça m'a toujours fait tripper, les "maisons fantômes" résultant de destructions d'immeubles.

Pour les nombreuses autres participations, c'est là dessous que ça se passe. 

 Manola, Loutron glouton, Nicky, Marion, Cricriyom from Paris, Lost in London, Blogoth67, Vinie, lesegarten, Surfanna, Champagne, The Parisienne, Violette, Nikit@, Louisianne, 100driiine, Gilsoub, Agnès, Les zinzins, magda627, Olivier, Nathalie, Annick, Carnets d'images, Titem, Hugo, Eff'Zee'Bee, Ori, Cessna, oui !, Coco, Louiki, Leviacarmina, Melting Pot, Mgie les bons tuyaux, Le Mag à lire, florianL, Tambour Major, Laura, Isabelle et Gilles, Caro, Petite Marie, Grignette, Chris et Nanou, La Fille de l'Air, LaGodiche, François le Niçois, Anita, Cocosophie, Laurent Nicolas, Véro Beramelo, Lauriane, La Parigina, Les voyages de Lucy, Maïder, Skipi, Cara, Cherrybee, David et Mélanie, Stephane08, Céliano, Emma, Bestofava, M.C.O, André Éric, Lavandine, M, Emily58, Lucile et Rod, Laure, Typh', Egedan, La Nantaise, L'Azimutée, Nomade57, Typh', Gizeh, Lhise, Tam, Caroline, Où trouver à Montréal ?, Anne, Glose, Minicecile, The Mouse, Dr CaSo, CHIFFONS and Co, Dan, Ovan, Alexanne, Nataru, Une niçoise, Vanilla, Aparça, Cekoline, Céline in Paris, DNA, Agrippine, Kyn, Xavier Mohr, Cynthia, Frédéric, Krn, Famille Gerdel, Sinuaisons, Carole In England, Karrijini, Stéphie&lesCacahuètes, Elapstic, Jean Wilmotte, La Flaneuse, Ava, Testinaute, Anne-Cécile, Babou, Renepaulhenry, A&G, Aude, Mamysoren, Zaromcha, Anne Laure T, hibiscus, Un jour une rencontre, Xoliv', Lyonelk, E, Kyoko, Dorydee, jen et dam, Galinette, Batilou, Hélène d'avril, Cathy, Clara, Quelbazar, Isabelle, Viviane, Cécile, Les petits supplices !, Alexinparis, Muni57, Sébastien, Filamots, Le-Chroniqueur, Narayan, Akaieric, Pilisi, Sephiraph, Alice Wonderland, M'dame Jo, J'adore j'adhère, Nora, La Papote, Otak.

Bien du plaisir et au mois prochain !