samedi 31 octobre 2009

Hier, j'ai commencé un billet qui commençait ainsi:
Je me souviens de la dernière fois que j'ai un peu fait la fête, un peu trop bu à un apéral qui s'est un peu trop prolongé et qui m'a fait un peu tituber.

Si je m'en souviens, ce n'est pas parce que c'était hier soir, c'est parce que c'était... le 1er août.
Et justement, la fois d'après a été hier et au lieu de finir ma note sur le travail accompli, les étapes passées, les épaules qui s'allègent, ben j'ai bu des bières. Et pas mes deux petits panachés devenus habituels - une bière pour le "prix" de deux, non, on m'a offert plein de tournées et c'était très bien.

Bref, aujourd'hui, je vais rendre un service à l'humanité.

Est-ce que tu es de ceux qui

1) ont un ventilateur qu'ils n'utilisent que deux mois par an?
2) n'aiment pas attendre que les sols fraîchement récurés ne sèchent, surtout les jours de pluie où ça prend des plombes?

Et ouais, tu vois où je veux en venir, ben ça marche du tonnerre, tu panosses ta salle de bain, installe de ventilo, t'as même pas commencé la cuisine, que c'est sec.

Tiptop nickel.

Et voilà. Sur ce, bonne soirée.

Et je viens d'accidentellement découvrir qu'il n'est pas obligatoire de mettre un titre. Trop fort.

Pis qui panosse en talons vernis, hein?

mercredi 28 octobre 2009

De l'art de s'auto-corriger.

Bon, ça suffit, ces conneries de cake et d'Hello Kitty, parlons sérieux et surtout, sautons du coq à l'âne.

Je me suis récemment convaincue que relire ses écrits à voix haute (oui, je suis tellement têtue qu'il m'est difficile de me convaincre moi-même et non, je ne suggère pas de relire ses billets à voix haute avant de les poster, faut pas déconner non plus, si je ne peux pas écrire comme une merde ici, où est le plaisir?) apportait un nombre d'avantages intéressants:

  1. Ça fait chier les collègues
  2. Ça donne l'air très con
  3. Si tu as 300 pages à relire, ça va te prendre trois plombes et tu n'auras plus de voix à la fin de la journée.
Nan, plus sérieusement...

  1. Ça permet de choper les répétitions, les formulations maladroites, etc. qui ne sautent pas aux yeux
  2. ... et de repérer quand c'est du gros tellement gros bullshit que tu ne comprends plus ce que tu avais écrit
  3. Et surtout, ça oblige à vraiment lire. Pas moyen de tricher, de lire en diagonale, d'accélérer le rythme au point de ne plus voir aucune faute. Non, si tu t'obliges à dire, ça doit passer par le cerveau et quand aabbgfffbbbppppf c'est que tu es fatigué et qu'il faut te reposer.
Bon, mais surtout, ça donne l'air très con.

mardi 27 octobre 2009

Buzz.

Trop pile en plein dans le buzz sans le savoir.



Via la Fredzone.

lundi 26 octobre 2009

Ze Chococat.

Je me devais de documenter cette grande expérience... Je laisserai surtout parler les images...



Faut cliquer sur les images pour voir en grand. Alors la pâte, très liquide, sent bon le chocolat, les instructions dessinées sont claires, il y a risque de débordement à la cuisson et ça se démoule à chaud.

Et j'ai pas encore goûté. Mais c'est adorable.

EDIT: c'est spongieux, mais pas désagréable. Le goût est correc'.

No title.

L'avantage de l'inconvénient principal d'être une femme, c'est que ça donne périodiquement une excuse pour faire des trucs un peu concons, genre s'acheter une préparation pour cake Hello Kitty chez Jlobus - oui, fourni avec le moule - à faire au micro-ondes.

Et le bloguer.

Oui, j'ai 31 ans.

samedi 24 octobre 2009

Avec un peu de thé, accessoirement.

Article non sponsorisé. Et clique sur la image.

Aujourd'hui, j'ai décidé de faire un truc que je n'avais pas fait depuis longtemps: flâner dans ma ville. Il y a encore pas si longtemps, je pouvais me targuer de connaître boutiques, bars, restos, clubs, etc. mais je ne compte désormais plus les endroits dont j'entends parler et où je n'ai jamais mis les pieds.

Bref, aujourd'hui, j'ai envie de faire de la pub pour deux endroits.

Tout d'abord, la boutique Accessoirement à la rue Marterey 74. Donc tout en haut à la sortie M2 Ours. Comme ce n'est pas mon quartier, je n'ai pas trop l'occasion d'y passer sauf quand je dois aller acheter des médocs pour mon chat insuffisant rénal chez le vétérinaire - en général avant 8h du matin. Donc aujourd'hui les astres se sont alignés, un truc de fous, finies les réserves de pilules félines et un cadeau à trouver pour le 80 ans de la grand-mère. Au lieu de saliver devant la boutique fermée, j'y suis allée. J'avais craqué sur un foulard en soie bleu pétrole qui irait très bien à ma grand-mère, mais dont le style froissé aurait mal passé - il faut savoir qu'elle repasse aussi les chaussettes. Bref, on a bien fouillé, discuté et finalement, j'ai trouvé mon bonheur.

J'ai appris au passage que le magasin existe depuis 6 ans. Je ne l'avais pas remarqué jusqu'à l'année dernière, quand la patronne a apparemment décidé d'un éclairage plus intense de la vitrine... Comme quoi. Ils ont une très jolie collection de gants en cuir, d'étoles, de foulard, de sacs, de beaux matériaux. Et -10% pour les étudiants.

Plus bas, rue Enning 4, la boutique THE TEA TEE. Plus d'une centaine de boîtes numérotées, une dame très serviable, qui se satisfait de descriptions approximatives pour trouver le thé parfait et a très gentiment répondu à mes questions naïves. Donc vous saurez de le cynorhodon n'a pas de couleur, c'est pour cela qu'on y rajoute souvent un peu de fleurs d'hibiscus pour le teinter, mais que les deux plantes n'ont rien à voir. Voilà, je ne savais pas. Du coup, je suis repartie avec un sachet de fleurs d'hibiscus, pour voir quel goût ça a tout seul.

Voilà, vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une vie normale.

jeudi 22 octobre 2009

mardi 20 octobre 2009

Maths suisses.

La combinaison de deux de mes addictions principales. Enfin.

De l'aromat qui a un goût de maggi, c'est brillant.

Le goût est plutôt à mi-chemin entre les deux, à vrai dire. Comme un shampoing 2-en-1.

lundi 19 octobre 2009

Pause d'absence.*

Je crois que l'espacement de mes notes et la quasi totale disparition de celles de plus de 10 lignes est non seulement à imputer à une certaine dose de travail que j'ai du fournir depuis mi-juin (ce qui n'est d'ailleurs pas tout à fait fini mais étant passée assez près du burn-out mi-septembre, je me concentre désormais sur ma respiration et j'essaie de bosser moins de 10h par jour) mais également au nouveau layout - dire laïoutte - de ma station de travail de mon poste de glandage à la maison. Out le bureau, in le laptop, mais avec grand écran externe le tout posé en hauteur, je trouvais le côté cybercafé sympa, mais pianoter pliée en deux sur un tabouret de bar, ça me bousille le dos.
D'ailleurs, je commence à peine la 9ème ligne que j'ai mal.

Et je n'ai pas écrit une seule ligne au travail depuis quatre mois.

Oui, c'est là que vous pouvez me féliciter. Zéro procrastination.

Autant j'ai une attention de poisson rouge les 98% du temps (je suis célèbre pour m'endormir systématiquement durant les présentations et autres séminaires) autant quand il le faut vraiment, je suis la première étonnée de mes capacités de travail et de concentration. C'est peut-être parce que je m'économise d'habitude. Franchement, si je bossais tout le temps comme ça, je serai maîtresse du monde - ou morte de fatigue, plus probablement. Heureusement, ce genre d'investissement n'est requis qu'une fois tous les 30 ans en moyenne, je devrais être peinarde un moment. Et on ne m'y reprendra plus.

Donc, ouais, je rentre gentiment en phase progressive de ré-humanisation et de re-socialisation. Je découvre avec joie que ni mes amis ni mon homme n'ont craqué en présence de mon double workaholic-tendu-comme-un-slip. Ma garde-robe, par contre, c'te pétasse, me le fait cher payer en ayant rétréci les trois quarts de son contenu. Je ne sais pas pourquoi elle est méchante comme ça avec moi, je ne lui ai rien fait. Je ne vois pas ce que ça peut lui foutre que j'ai fait trois fois moins de sport que d'habitude. J'avais de grandes choses à accomplir, moi Mâdâme. Mes yeux aussi m'en veulent, mais là je comprends déjà mieux. J'ai refait des verres à ma vue au printemps et que je peux déjà plus lire les panneaux.

Le pire, c'est que la folie ne sera pas complètement finie avant la fin de l'année.

A la suite de quoi, je risque bien d'être chômeuse. Ou de devoir partiellement m'expatrier chez les Bourbines.

Ou alors trouver un job de malade dans la région, avoir un salaire avec plein de zéros, déménager dans un appartement avec des vrais murs et un lave-vaisselle, profiter de mes weekends, partir en vraies vacances cinq semaines par an, la vraie vie, quoi.

* Je raconte n'importe quoi si je veux.

jeudi 15 octobre 2009

mercredi 14 octobre 2009

mardi 13 octobre 2009

Résumé.

A côté de Lisbonne, Paris et Barcelone peuvent aller se rhabiller.

C'est plus beau. Chaud. Propre. Abordable. Les gens sont plus sympas. Et efficaces. Ouais, ça compte aussi, se faire servir vite et bien. So Suisse of me, certes, mais je vous emmerde. Les cocktails mieux servis et si on évite les attrape-touristes, on mange bien.

Et c'est beau. Je sais, je l'ai déjà dit.

Pis ça pue pas. Parce que Paris et Barcelone, c'est sympa, mais c'est sale et ça sent pas bon.

Images plus tard, probablement.

Voilà. Maintenant, ici, fait froid et ça fait chier.

Mais j'ai des marques de bronzage en souvenir de la piscine de l'hôtel, tcheu, et ça fait plaisir. Je l'ai eu, moi aussi, mon été, même si c'était court.

mardi 6 octobre 2009

Dingue.

Je vais faire un truc de fous ces prochains jours, je vais prendre quelques jours de vacances et avoir une vie. Au lieu de passer 50h+ par semaine assise sur mon cul en pleine expansion à accomplir de grandes choses certes mais que ça commence à faire un peu long, là.

Mais paraît qu'on n'a rien sans rien.

En attendant, je vais allez voir ailleurs si l'herbe y est plus verte. Ouais, et même faire du clubbage exotique ici ou pendant que j'y suis.

Seeya, quoi.
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