Quand mon (nouveau) médecin (italien) me disait Ici, la période des pollens, il y en a tellement, on dirait qu'il neige je crois qu'il faisait référence à ça.
Voilà donc l'entrée de |
Non, on n'a pas sacrifié un bichon frisé dans la cour. Il y en a partout depuis des semaines. Ils s'enfilent partout: les moustiquaires sont floconneuses, le garage sous-terrain est duveteux, il y en a même sur ma voiture qui est un box fermé au sous-sol.
... et de |
Et c'est là que j'aurais presque envie de chantonner un truc du genre :
D'abord le vent qui te soulève,
T'es seul dans la lumière des phares,
Tu voles à chaque fois que je respire,
V'là la crise d'asthme qui me déchire
Et ça continue, encore et encore,
C'est que le début, d'accord d'accord
L'instant d'après, le vent se déchaîne,
Les arbres encor'une fois dégainent
Et je me retrouve étalée parterre
A suffoquer comme une vieill'hyène
Et ça continue, encore et encore,
C'est que le début, d'accord d'accord
Mais ce serait vraiment très naze.
Si j'arrive à faire une photo de ces machins qui volent, je vous montre. C'est vraiment impressionnant.
Bon, j'avoue, j'aime c'te chanson pour de vrai. Un rare souvenir d'enfance qui ne me fout pas le bourdon.
Vas comprendre pourquoi.
Alors j'te la mets.
Naaaaan, pas Francissecabrrrel !!!
RépondreSupprimerSiiiiiii. Tu n'aimes pas mes nouvelles paroles?
RépondreSupprimerOh, ces "flocons" de pollen me font penser au beau film de Roberto Benigni, Le Tigre et la Neige.
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