Mercredi, donc, c'était férié, mais pour mon plus grand plaisir égoïste, un jour pas férié pour tout le monde avec magasins ouverts. Je ne suis pas tout ce qui se passe en Italie, mais si j'ai compris juste, depuis le début de l'année, les négociants peuvent ouvrir quand ils veulent, sans limitation, libéralisation introduite par Monti, probablement dans le but de stimuler les envies de shopping - avec une TVA à 21% en voie de passer à 23.5% d'ici un an et demi, il faut motiver les troupes à dépenser l'argent qu'ils n'ont pas... mais je digresse.
J'ai donc pris ma voiture - oui, j'ai une voiture depuis le début du mois et j'en suis très contente, c'est une Ford Ka avec un gros cul - et j'ai quitté ma campagne pour Monza. Oui, même avec les embouteillages et la qualité des routes, avoir une voiture dans mon trou est une liberté supplémentaire - je ne pensais écrire ça un jour... mais je digresse encore.
Bref. Donc. Tout ça.
Alors que je m'apprêtais à partir, on1 m'a glissé dans l'oreille que la première chose que l'on associait à Monza, c'est la Formule 1. Je ne peux pas lui donner tort, en effet, essaie de googler "Monza, tu auras des pages de ça :
Donc j'ai trouvé un costume gris soldé dont la veste est parfaite et le pantalon pourrait presque aller - on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a - pour aller faire le pingouin au boulot et un pantalon fuchsia très fuchsia dont je suis très contente.
Et j'ai pris quelques photos pour essayer de vous montrer Monza-la-Ville et non Monza-le-Circuit.