Les Piani d'Erna - la vendetta.

Il y a de cela plus d'un an, Jamy et moi sommes allés faire de la raquettes aux Piani d'Erna, au dessus de Lecco. Et il y a de cela un mois, je postais une note.

Ça veut dire qu'il est temps ! Conjonction planétaire, tout ça !

Nous y sommes retournés plusieurs fois sans neige et je vais partager ici les photos de deux balades. C'est pour ça qu'il y en a beaucoup.

C'est par lààààààà.

La première balade de cette année a été effectuée en mode pépère en prenant le téléphérique pour faire les 700 m de montée et se fendre d'une petite balade vallonnée sur un sentier didactique "nature" pour regarder les petites fleurs - et se prendre des pollens de bouleau à plein nez et pleurer et renifler sa race toute la balade.

Piqué à angolodellavventura.com
Et une dose de compression jpeg pour la 6 !

Le seconde balade a été effectuée une fois la période de pollinisation des bétulacées - là, elle réalise que le correcteur orthographique de cille pas et qu'elle a donc inventé un mot qui existe ! - en mode un peu plus sportif. 

Exit le téléphérique, on monte à pied.

Alors c'est pas très très long, hein. 3.5 km. Pour un dénivelé de 700 m. Donc du 20% de montée en moyenne - "moyenne" étant le mot-clé ici. Bref, bon petit coup sur la pompe. Je sens qu'on va se la refaire sans pause photo et petites fleurs juste pour la beauté du geste et entretenir nos corps d'athlètes - hum.

Le record de montée, c'est quelque chose comme 40 minutes, il parait. Ben on a du boulot encore...

Les photos, les photos !

Et ceci, les amis, est une orchidée sauvage. Chou, non?

Une remontée mécanique désaffectée se cache parmi les cerisiers en fleurs.
Sauras-tu la retrouver ?

L'incontournable bondieuserie.

La maison de Laura Ingalls.

Atchoum !

La montée est raide, mais quasi intégralement "pavée" donc assez facile à marcher.

Pause "vue"

Quand tu crois que tu arrives...

... mais que tu dois te manger l'incontournable et interminable traversée de pré.

On est arrivés!

La même montagne que l'année d'avant, mais sans la neige.

Et la cabine pour redescendre. Ton orthopédiste te dira merci. 

Voilà, c'est tout.

(J'ai vaguement une note en préparation dans ma tête sur le multilinguisme, l'expatriation après presque trois ans, comment je sais plus parler aucune langue correctement, tout ça, mais c'est pas mûr.)