Quand on sort de notre campagne brianzolaise pour aller à la ville, on prend un train qui met des plombes pour faire les trente misérables kilomètres qui nous séparent de Milan et en bon provinciaux qui voyagent sur une ligne régionale - pourrie1 - nous arrivons à la gare de Porta Garibaldi.
Hasard des feux de circulation, la place de la gare semble déserte un samedi après-midi. |