Je ne m'interroge qu'assez rarement sur l'image que je renvoie et je dois dire que je m'en tape pas mal.
Je crois que j'ai commencé m'en foutre quelque part avant mes 18 ans, non pas par principe d'adolescente sauvage - il n'y a rien de plus préoccupé par son image qu'une adolescente qui se croit moche - mais à la suite d'un évènement certes anecdotique qui toutefois m'a marquée. Je sortais avec un type à l'époque, appelons-le... R2D2. R2D2 avait un copain, que nous appellerons... 4-LOM. Organisation d'une soirée, je ne me souviens plus trop, mais bon, 4-LOM devait venir mais avait finalement annulé, je sais plus quoi. Il faut savoir que j'avais vaguement côtoyé 4-LOM mais je ne pense pas que nous avions échangé plus le 4.5 mots. Et je ne me souviens pas l'avoir insulté. Bref, R2D2 finit par me dire que 4-LOM a annulé car... il ne me supporte pas. Au point de ne pas pouvoir passer une soirée dans la même pièce que la copine de son pote, donc.
Certes, je peux être détestable quand il le faut... mais j'avais pratiquement jamais causé au type, nous ne nous connaissions absolument pas.
Donc, je disais, anecdotique, mais après avoir été passablement perturbée par cet évènement - notez au passage le tact de R2D2 - j'ai subitement arrêté de vouloir avoir l'air que quoique ce soit et comme je peux passer d'une timide introvertie à une grande gueule qui fait l'animation de la soirée en passant par la passive-agressive qui veut qu'on lui foute la paix selon l'humeur du jour1, c'est bien plus simple comme ça.2
Donc heu, ouais, question à la con.
On m'a dit plusieurs fois que j'ai l'air tout gentil tout sage de premier abord. A l'aïkido, A et B commentent le fait que j'ai pas l'air comme ça - les mots exacts étaient t'as l'air de rien comme ça - notez le tact bis - mais quand je pratique, ça démerde. Dans un cadre professionnel, j'ai entendu soit que j'avais l'air trop jeune pour être crédible ou alors que je dégageais une grande confiance en moi et une assurance tranquille. Ouais ouais, pis pas par n'importe qui en plus.
Bref, j'ai entendu tout et son contraire, mais il semble que la "petite chose timide" revienne assez souvent. Enfin, petite chose.C'est qu'il me m'ont pas entendu roter, dis donc.
Pis ma "préférée". Toi, t'es pas le genre de filles qu'on va présenter à ses potes pour frimer, mais t'es définitivement une fille qu'on a envie de se faire. Et mon poing dans ta gueule, tu veux te le faire?
Donc ouais, des fois, je me demande quand même. Par curiosité, mais aussi parce que je me dis que ce serait pas mal d'avoir un minimum conscience de l'image que je peux dégager... pour un entretien, par exemple.
1 Et non, rien à voir avec les hormones, parce que dans ce cas... je pleure. Quand je vois un chiot. Quand je lis le 20 minutes. Quand je suis à court de chaussettes. Quand mon copain me dit un truc gentil. Quand je reçois une facture de 19.-. Donc, non, rien à voir. Arrêtez de tout nous mettre sur le dos des hormones, on peut être chiantes parce simple volonté aussi.
2 Oui, je suis un bonheur à côtoyer au quotidien.
Je crois que j'ai commencé m'en foutre quelque part avant mes 18 ans, non pas par principe d'adolescente sauvage - il n'y a rien de plus préoccupé par son image qu'une adolescente qui se croit moche - mais à la suite d'un évènement certes anecdotique qui toutefois m'a marquée. Je sortais avec un type à l'époque, appelons-le... R2D2. R2D2 avait un copain, que nous appellerons... 4-LOM. Organisation d'une soirée, je ne me souviens plus trop, mais bon, 4-LOM devait venir mais avait finalement annulé, je sais plus quoi. Il faut savoir que j'avais vaguement côtoyé 4-LOM mais je ne pense pas que nous avions échangé plus le 4.5 mots. Et je ne me souviens pas l'avoir insulté. Bref, R2D2 finit par me dire que 4-LOM a annulé car... il ne me supporte pas. Au point de ne pas pouvoir passer une soirée dans la même pièce que la copine de son pote, donc.
Certes, je peux être détestable quand il le faut... mais j'avais pratiquement jamais causé au type, nous ne nous connaissions absolument pas.
Donc, je disais, anecdotique, mais après avoir été passablement perturbée par cet évènement - notez au passage le tact de R2D2 - j'ai subitement arrêté de vouloir avoir l'air que quoique ce soit et comme je peux passer d'une timide introvertie à une grande gueule qui fait l'animation de la soirée en passant par la passive-agressive qui veut qu'on lui foute la paix selon l'humeur du jour1, c'est bien plus simple comme ça.2
Donc heu, ouais, question à la con.
On m'a dit plusieurs fois que j'ai l'air tout gentil tout sage de premier abord. A l'aïkido, A et B commentent le fait que j'ai pas l'air comme ça - les mots exacts étaient t'as l'air de rien comme ça - notez le tact bis - mais quand je pratique, ça démerde. Dans un cadre professionnel, j'ai entendu soit que j'avais l'air trop jeune pour être crédible ou alors que je dégageais une grande confiance en moi et une assurance tranquille. Ouais ouais, pis pas par n'importe qui en plus.
Bref, j'ai entendu tout et son contraire, mais il semble que la "petite chose timide" revienne assez souvent. Enfin, petite chose.
Pis ma "préférée". Toi, t'es pas le genre de filles qu'on va présenter à ses potes pour frimer, mais t'es définitivement une fille qu'on a envie de se faire. Et mon poing dans ta gueule, tu veux te le faire?
Donc ouais, des fois, je me demande quand même. Par curiosité, mais aussi parce que je me dis que ce serait pas mal d'avoir un minimum conscience de l'image que je peux dégager... pour un entretien, par exemple.
1 Et non, rien à voir avec les hormones, parce que dans ce cas... je pleure. Quand je vois un chiot. Quand je lis le 20 minutes. Quand je suis à court de chaussettes. Quand mon copain me dit un truc gentil. Quand je reçois une facture de 19.-. Donc, non, rien à voir. Arrêtez de tout nous mettre sur le dos des hormones, on peut être chiantes parce simple volonté aussi.
2 Oui, je suis un bonheur à côtoyer au quotidien.
ahah, c'est marrant ça, comme questionnement. c'est la journée dis-donc.
RépondreSupprimerPourquoi, tu questionnes à la con aujourd'hui?
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