For the record.

Il a plu, il a ventu, il a neigu, mon truc de dent provisoire s'est barré la veille du départ à minuit. Et pas moyen de trouver un dentiste après 22h à Lausanne. Un tiers de dent en moins, ça calme, surtout au niveau nourriture et boisson - ce qui est quand même bien la poisse lors d'un weekend à Paris. Enfin, ça limite les dégâts graisseux. Je n'avais pas bu de bière à la paille depuis 1991, ben ça pète toujours autant la tête. D'ailleurs, si quelqu'un peu m'expliquer pourquoi, je suis preneuse.

Bref, malgré tout cela, le weekend fût bon. Alors je vais pas raconter ce que l'on a fait - et surtout prévu et pas fait, mais je tiens à rétablir un fait important.

Lors de passages précédents à Paris, j'avais trouvé le Parisien stressé, impoli, un peu pète-sec aussi.

Ben non.

Palme à la gentille dentiste qui m'a prise en urgence pour me recoller mon bout de machin - même si ça n'a pas tenu 24h - sans me facturer quoique ce soit.

Je n'ai rencontré - presque - que des gens souriants et serviables et qui râlent même pas quand tu abuses un peu de leur temps.

Donc voilà, ça, c'est fait.

Pis sinon, j'ai compris pourquoi j'aime Lausanne et que Paris, malgré ses possibilités multiples et l'atmosphère tranquille et villageoise de certains quartiers, ne me conviendrait pas à long terme. Quand tu mates Paris depuis la butte Montmartre, tu vois des toits et des toits et des toits et quelques tours. Alors que Lausanne, y'a quand même de quoi faire quand tu veux sortir, mais surtout, il y a de quoi faire quand tu veux sortir de la ville et quand tu montes en haut d'un immeuble/à la Tour Sauvabelin, tu vois les Alpes et le Lac. Les toits, c'est bien mignon, mais ça m'arrivera jamais à la cheville des Alpes et d'un paysage comme ça.




Sûrement à une prochaine, alors.

Du coup, l'illustration est justement une contre illustration, hein, j'précise.