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Bannière temporaire jusqu'en mai probablement, si ma nouvelle expatriation me redonne l’envie de raconter.
Je n’ai pas encore signé, mais c’est presque tellement officiel, que je me sens de la dire. Chefs actuel et futur ont négocié la date : courant mai, je commencerai en Allemagne.
C’est encore plus « fin d’une époque » depuis que Z, a.k.a. la vieille insuffisante rénale, ait fini par succomber à presque 19 ans d’une renal failure magistrale, après 10 ans de Fortekor et de nourriture vétérinaire et de beaucoup d’amour. Elle s’en est allée dans un nuage chimique lundi passé après un week-end assez traumatisant – peut-être bien plus pour moi que pour elle – à lui tenir la patte et la nourrir à la seringue et la voir partir d’heure en heure – mais comme me l’a dit mon vétérinaire que j’aime d’amour, je serai malgré tout soulagée de ne plus avoir à me soucier autant d’elle.
Oh que j’ai pleuré.
(Et je n’ai sûrement pas encore fini, vu comme ça pique juste écrire ces lignes)
Bref, je me sens le cœur plus léger malgré tout de ne pas devoir lui faire vivre encore un grand changement qu’elle n’aurait peut-être pas supporté.
L’autre minette, P., bientôt 14 ans, est en pleine forme, bien qu’elle soit stressée chronique et souffre de maux de voyage – je vous dis pas le cirque quand il faut voyager – mais ça sera relativement facile… Surtout qu’après avoir été la seconde pendant 14 ans, elle devrait peut-être prendre confiance et se détendre un peu.
Bon pis l’Allemagne, ça veut dire plus de possibilité de travail pour Monsieur qui pourra lui aussi enfin s’expatrier.
Donc ouais, on s’approche deux-trois mois de bordel absolu, ça va être fun.
J’en raconterai un peu plus quand j’en saurai un peu plus.
Je me demande déjà quel genre de choc culturel ça va être l’Allemagne après plus de cinq ans en Italie…