Nous avons eu jusqu'ici (dimanche):Bruno : Heu, ouais, comment dire. Je reste impressionnée par les capacités de caméléon de Sasha Baron et devant sa capacité à se mettre dans des situations impossibles sans se faire tuer, un peu comme les gars de Jackass se relèvent après chaque chute. J'ai trouvé qu'il y avait plus de bonnes scènes dans les bonus, souvent plus "subtiles" que celles du film et surtout, il y a quand même une certaine intelligence dans sa provocation pour ce qui est de faire sortir le pire de ces protagonistes, enfermés dans un premier degré dramatique. Ai-je aimé? Je ne sais pas.
Sunshine cleaning : Le film se passe... au Nouveau Mexique. Jusqu'à présent, mon préféré de la semaine. Humour noir, mais pas trop, un peu décalé, un peu absurde, jolie photo. Qui finit plutôt bien mais pas gnangnan.
Dreamland : Le filme se passe... au Nouveau Mexique. Ouais, j'en rentre et j'aime justement retrouver dans les films des paysages que je connais. J'ai aimé les personnages, mais l'histoire ne m'a pas vraiment accroché. De très belles images, même si je trouve le côté couleur "photos passées" un peu lassant sur la longueur.
Funny people : Ouais bon, ben voilà. Sandler qui ne fait pas le pitre, ça fait des vacances, mais c'est un peu lisse et sans surprise. J'ai bien aimé le personnage - bien que secondaire - de Daisy.
The Maiden Heist : Alors sujet sans surprise, personnages sans grande originalité mais le trio joué par Morgan Freeman, Christopher Walken et William H. Macy, avec en prime une Marcia Gay Harden que j'aime ici, porte le film et en font un divertissement de qualité, me think. D'un autre côté, fièvre et Tamiflu altèrent peut-être mon jugement.
La Môme : J'ai survécu aux deux heures de film, ce qui est plutôt bon signe. Ou alors j'ai eu une attaque porcine qui m'a grillé le cerveau, je sais pas. Alors, je l'ai vu, ça, c'est fait. Marion C. n'a pas volé son oscar, ne serait-ce pour s'être fait raser l'avant de la tête, de s'être tapé 5h de maquillage par jour et d'avoir chanté certains passages, mais j'ai quand même trouvé le tout un peu pénible. Trop d'aller-retours enfance-carrière-mort avec des rappels visuels pour repasser d'une époque à l'autre gros comme des maisons, mais sûrement utiles pour ne pas se perdre. J'ai bien aimé le making of.
Assassination of a highschool president : J'ai bien aimé. Ne serait-ce que pour Bruce. Décalé, deuxième degré, personnages caricaturaux, mais pas trop. L'école fait début du siècle, les appartements 70's, le matériel informatique 80's mais les natels existent déjà. Ça donne un côté hors du temps que j'aime bien.
Dreamland : Le filme se passe... au Nouveau Mexique. Ouais, j'en rentre et j'aime justement retrouver dans les films des paysages que je connais. J'ai aimé les personnages, mais l'histoire ne m'a pas vraiment accroché. De très belles images, même si je trouve le côté couleur "photos passées" un peu lassant sur la longueur.
Funny people : Ouais bon, ben voilà. Sandler qui ne fait pas le pitre, ça fait des vacances, mais c'est un peu lisse et sans surprise. J'ai bien aimé le personnage - bien que secondaire - de Daisy.
The Maiden Heist : Alors sujet sans surprise, personnages sans grande originalité mais le trio joué par Morgan Freeman, Christopher Walken et William H. Macy, avec en prime une Marcia Gay Harden que j'aime ici, porte le film et en font un divertissement de qualité, me think. D'un autre côté, fièvre et Tamiflu altèrent peut-être mon jugement.
La Môme : J'ai survécu aux deux heures de film, ce qui est plutôt bon signe. Ou alors j'ai eu une attaque porcine qui m'a grillé le cerveau, je sais pas. Alors, je l'ai vu, ça, c'est fait. Marion C. n'a pas volé son oscar, ne serait-ce pour s'être fait raser l'avant de la tête, de s'être tapé 5h de maquillage par jour et d'avoir chanté certains passages, mais j'ai quand même trouvé le tout un peu pénible. Trop d'aller-retours enfance-carrière-mort avec des rappels visuels pour repasser d'une époque à l'autre gros comme des maisons, mais sûrement utiles pour ne pas se perdre. J'ai bien aimé le making of.
Assassination of a highschool president : J'ai bien aimé. Ne serait-ce que pour Bruce. Décalé, deuxième degré, personnages caricaturaux, mais pas trop. L'école fait début du siècle, les appartements 70's, le matériel informatique 80's mais les natels existent déjà. Ça donne un côté hors du temps que j'aime bien.
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